Toi qui foules les plages de la mer du milieu,
toi qui croques dans la grosse pomme à pleine dent,
toi qui virevoltes ou te terres aux portes de Paris,
tu me manques.
Ma vie à moins de sens sans toi...
28.4.09
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Même s'il a ses raisons que la raison ignore, mon coeur se fend à la lecture de ces lignes, et je crois qu'il a raison.
RépondreSupprimerPrise par le boulot (donc le retard), pas dispo (comme d'hab), abrutie par l'ordi (nateur), mais surtout, surtout en manque de ta bouille aussi...
Y'a du favoritisme :(
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